Goupil ou coup de sang à propos des évaluations de 6e

Lu dans une encyclopédie disponible sur la Toile :
Quel que soit le mode d’accession au trône, la royauté tire son autorité dans une certaine forme de continuité, résumée par exemple en France par l’expression : « le Roi est mort, vive le Roi ». Il n’y a pas d’idée de rupture, la légitimité venant de la sacralité de la fonction et la continuité étant le signe de la permanence du lien. La fonction comme telle est immortelle, puisque sacrale, le roi d’une certaine manière se retrouve dans ses descendants, ou ses successeurs.

Tout compte fait, Wikipédia permet de raviver assez vite une connaissance enfouie, de confirmer la justesse de l’idée qu’on s’en fait. Petit-fils d’un qui travaillait chez « Monsieur le Comte », n’allez surtout pas me croire suppôt de la noblesse ou de la royauté… Alors le parallèle, parce que vous vous doutez bien que ce n’est pas du tout le sujet, est celui-ci :

les évaluations de début de 6e sont mortes, vivent les évaluations !

Comment justifier autrement que par une sacralisation de celles-ci et une volonté de continuité avant leur "socle-communisation", que pour la 3e année consécutive lesdites évaluations soient rigoureusement identiques ?

Qu’à cela ne tienne les renards ne mangent plus de pourcentages* depuis deux ans déjà et chacun s’en contre-fiche !!!

Bruno Alaplantive (rhésus AB négatif)

*Les renards mangent des pourcentages, cf. BV n°462

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