Articles divers

 

 

  • Requiem pour le socle

    Socle (du latin socculus, issu de soccus ; chaussure, socque). base sur laquelle repose un édifice, plate-forme, soubassement.
    Le socle, idée fondamentale ?
    L’idée du « socle » est issue du rapport Thélot, rappelez-vous, ce rapport de synthèse rédigé à l’issue du « Grand débat sur l’école » de décembre 2003 : une plutôt bonne idée de départ, quoiqu’un peu abstraite.
    Le socle commun de connaissances et de compétences (le socle, tout court, pour les intimes) serait l’ensemble des compétences que doit posséder (...)

  • Un seul requiem ?

    Dans l’optique des préoccupations de l’Apmep, Claudie Missenard a écrit en juin dernier, pour les « Chantiers » de la Régionale d’Ile de France, le « Requiem » que nous publions ci-après, avec son accord, en Courrier des lecteurs.
    Or, à la lumière des réunions interacadémiques consacrées au socle pour les mathématiques, il apparaît une mue … qui, avis pris de participants APMEP à ces réunions, dont Claudie, et de notre Présidente, m’incite à entrer aussi dans ce courrier des lecteurs…
    En mathématiques, on (...)

  • Pour l’emploi du mot « ouverture »

    Jean-Dominique Picchiottino, Pierre Amigo & Michel Jeuffroy
    Dans le domaine de la géométrie, nous trouvons des expressions qui nous sont familières comme les longueurs de segments, les aires de surfaces et les volumes de solides. Sommes-nous tous vraiment au point avec leur maniement ? Rien n’est moins sûr, comme en témoigne la phrase suivante, encadrée et commentée dans un manuel de sixième il y a quelques années…
    La longueur d’un segment dépend de l’unité choisie.
    Évidemment, ce n’est pas (...)

  • À propos d’un édito de Michel Fréchet

    par Jacques Treiner
    Dans son éditorial du 16 juin, Michel Fréchet plaide pour des programmes de mathématiques plus « mathématiques », c’est-à-dire plaçant la démonstration au centre de l’enseignement de la discipline. S’agissant de pluridisciplinarité, il imagine « certains cours de sciences où interviennent simultanément des enseignants de mathématiques et de sciences, confrontant ainsi leur pratique devant les élèves ». C’est, comme il le rappelle, ce que propose l’APMEP avec l’option sciences en (...)

  • Wendelin WERNER

    Né en Allemagne en 1968, naturalisé français à l’âge de 9 ans, Wendelin WERNER obtient son doctorat à l’Université de Paris VI en 1993. D’abord professeur de mathématiques à Orsay, il enseigne aujourd’hui à l’Université de Paris VI ainsi qu’à l’E.N.S. de la rue d’Ulm. Il a déjà été récompensé par le prix Rollo Davidson en 1998, le prix des jeunes chercheurs de l’E.M.S. en 2000, les prix Fermat en 2001, Jacques Herbrand en 2003, Loève en 2005 et enfin Pòlya en 2006. Ses travaux concernent le calcul des probabilités (...)

  • À propos d’un article de Corine Castela et Catherine Houdement

    par Georges Lion
    En raison de l’intérêt présenté par la lecture de l’article du Bulletin vert « Se dépayser pour interroger les choix de l’enseignement français de la Géométrie » (n° 465, p. 577-582), il m’a semblé utile d’attirer l’attention des lecteurs sur les trois points suivants : Dans la donnée de l’exercice préliminaire, l’incohérence entre les valeurs prétendues des angles (30° et 150°) et leurs valeurs mesurables (47° et 106°), présentée comme une cachotterie, va bien au delà et constitue un véritable (...)

  • L’armée de Napoléon

    Énoncé
    Les troupes ordinaires de Napoléon étaient disposées en 14 régiments carrés, chaque régiment comportant le même nombre d’hommes.
    Les troupes d’élite formaient un quinzième régiment carré, comportant un peu moins d’hommes que chacun des régiments ordinaires.
    Napoléon ordonna d’abord à son régiment d’élite de se joindre à 7 régiments ordinaires pour former un grand carré.
    Puis, se ravisant, il ordonna aux 7 régiments restants de rejoindre le grand carré pour former un carré encore plus grand, comportant la (...)

  • Démonstration ou définition ?

    par Yannick Masse J’ai lu avec intérêt le texte : Le calcul au collège, paru dans le Bulletin n° 455. Néanmoins, je ne suis pas d’accord avec le passage de la page 790 qui prétend démontrer » : $\fracab+ \fraccb= \fraca+cb $.
    Le principe de « permanence des propriétés sur les opérations », invoqué dans le texte, ne saurait avoir une quelconque valeur démonstrative, sans quoi, de la commutativité de la multiplication dans l’ensemble des nombres complexes, on pourrait inférer la même propriété dans (...)

  • Contre la notation(+3]

    Yannick Massé
    On lit parfois que le signe « - » a trois sens possibles : dans $5 - 2$, il désignerait la soustraction ; dans $- x$, il signifierait : opposé ; enfin, dans $− 7$, il signifierait : négatif.
    Je pense qu’il n’en est rien. Le signe « - » est le signe de la soustraction, $a-b$ désignant le nombre qu’il faut ajouter à $b$ pour obtenir $a$.
    $- 7$ et $- x$ sont des abréviations, commodes, pour $0 - 7$ et $0 - x$.
    $0 - x$ est en effet le nombre qu’il faut ajouter à $x$ pour obtenir 0 : c’est (...)

  • Laurent Schwartz, professeur, réformateur et militant

    Le mathématicien Laurent Schwartz, né en 1915 à Paris, ancien élève de l’ENS est mort le jeudi 4 juillet 2002. Il avait fondé en 1966 le Centre mathématique de l’école polytechnique.
    La disparition de Laurent Schwartz le 4 juillet dernier laisse un grand vide, non seulement dans la communauté internationale des mathématiciens, dans la foule de ses anciens élèves, universitaires, ingénieurs, hauts fonctionnaires, mais aussi dans le coeur de tous les opprimés du monde entier.
    Il n’est pas possible (...)

 

 

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