L’A.P.M.E.P. ne cesse de réclamer que l’enseignement des mathématiques se préoccupe, avec un égal intérêt, des huit moments d’une véritable formation scientifique :
Nos Olympiades françaises, au souci non élitiste bien marqué désormais, par une ouverture accrue aux diverses séries, peuvent s’insérer dans ce type de formation. . .
D’autant qu’il y a lieu d’éviter la regrettable dichotomie qui pourrait s’instaurer entre de « ludiques » activités de clubs mathématiques et « d’austères » heures classiques de mathématiques.
Par leur nature nos Olympiades évitent cet écueil. Elles peuvent, au contraire, irriguer tout notre enseignement.
Tel est, pour l’APMEP, leur intérêt majeur.